
Expleanation of the events of April of 2017 regarding Rasool Allah
For those who did not get it last year. I never said I was a Nabi Allah - I said I was Rassoul Allah. I said repeatedly that the last Nabii is Nabii Allah Mouhamed may peace be upon him.
A Rassoul can be a school teacher, a preacher in a mosque, Church or synagogue, anyone that talks about the message of god and teaches others the love of Allah.
كاد المعلم أن يكون رسول = The teacher is almost the messenger.
والله أعلم = and only Allah knows for sure
God bless you and Good Friday. جمعة مباركة
Friday 27 of April 2018
L'histore du dossier Saad Echouafni
En effet, une analyse sereine démontre que cette ignorance se
situe à trois niveau : ignorance du personnage, ignorance des faits et ignorance
du contexte américain.
Tout d’abord le personnage ! Tous ceux qui ont
approché Saad ECHOUAFNI, trouvent qu’il s’agit d’une personne très attachante.
Rien qu’à le voir au milieu des siens, on remarque toute la passion qu’il a pour
sa famille et l’affection qu’il reçoit en retour. C’est peut être là son talon
d’Achille : en voulant couver les siens dont il est l’unique protection, il
s’est attiré des ennuis.
Cette attitude est parfaitement compréhensible
pour ce jeune père de famille de 38 ans. Il est le produit d’une éducation et
d’une culture bien de chez nous, avec des valeurs qui sont les nôtres.
Ces valeurs lui ont été inculquées par
un père bien connu pour avoir servi son pays en faisant la promotion du Maroc un
peu partout en Europe. Il les a prises aussi auprès d’une mère, issue elle-même
de la plus prestigieuse famille de Rabat du début du siècle dernier, qui lui a
seriné que respectabilité rime avec rigueur morale.
De cette éducation
rigoureuse ne pouvait naître le délinquant que d’aucun voulait imaginer ! Bien
au contraire ,c’est fort de ce « back ground » qu’ il a compris très tôt qu’il
fallait être toujours le meilleur et choisir pour lui-même et pour les siens ce
qu’il y a de mieux.
C’est dans ce contexte qu’il a décidé , à la fin de
ses études secondaires, de partir à la conquête de ce meilleur. Et le meilleur
pour lui ne pouvait être que les Etats Unis d’Amérique. Alors , avec toute la
fougue et la passion de ses vingt ans ,il s’investit dans ce pays.
Très
vite le rêve américain devient une réalité. La réussite est là ! Le succès au
rendez-vous . Car Saad ECHOUAFNI s’affirme rapidement comme un des leaders dans
les domaines d’activité qu’il brasse.
Il doit certes son succès à ses
capacités propres, mais aussi à ce système américain qui permet l’aboutissement
de l’initiative privée. Il exprime alors sa loyauté et sa gratitude à l’Amérique
en prenant pour lui-même et ses enfants la nationalité américaine.
Ce
choix était conscient, et il le pensait irréversible. Sa foi dans la démocratie,
la justice, l’économie, bref dans tout le système américain était sans borne
.C’est peut être là que commenceront ses soucis.
Les faits alors ! Le
succès attire toujours des convoitises avec tout ce que cela suppose comme
malveillances et coups bas. On se retrouve du coup dans un système impitoyable
et cruel .C’est dans cette logique que Saad ECHOUAFNI et ses associés ont été la
cible d’attaques de toutes natures et plus particulièrement les attaques de
leurs serveurs informatiques. En d’autres termes la destruction de son
patrimoine ! Il se devait de se défendre avec ses propres ressources chaque fois
qu’il est attaqué à la régulière. Mais quand il s’agit d’attaques malveillantes
et illégales, il n’y a pas d’autre recours que la Loi.
C’est parce que
Saad ECHOUAFNI avait une foi inébranlable dans la justice américaine qu’il s’est
adressé au FBI pour se protéger contre les attaques dont il a été VICTIME.
En effet, malgré les multiples recours aux autorités judiciaires, Saad n’a
jamais réussi à identifier les sources d’attaques de ses serveurs. A croire que
le FBI se délectait de ce qui lui arrivait.
C’est seulement quand il a
menacé de s’adresser au Congrès des USA et plus particulièrement au Sénateur
Kennedy, que l’agent du FBI Cameron Malin a accepté de présenter à Saad
ECHOUAFNI, un personnage douteux qui s’appelle Paul Ashley. Le FBI connaissait
parfaitement les antécédents de ce Ashley confondu dans des attaques similaire,
mais il savait aussi que Ashley pouvait parfaitement défendre des sites contre
ces attaques puis qu’il l’ a déjà fait pour le compte du FBI. Le même FBI a
conclu que Saad ECHOUAFNI n’avait ni les compétences, ni le savoir faire pour
lancer ce type d’attaques.
Ces affirmations sont vérifiables et
authentifiées dans des documents du FBI. Il y est précisé que le 14 Février 2004
le FBI a effectué un raid chez P. Ashley et saisi 300 serveurs avec les preuves
que ce dernier a effectué des attaques qui ont mis hors service l’ensemble des
sites de Saad ECHOUAFNI . Ces faits et autres ont été rapportés dans le
témoignage de l’Agent Spécial du FBI Tim Russel devant le juge Dein à Boston le
15 Mars 2004.
Il est totalement absurde que le FBI , qui reconnaît avoir
présenté P. Ashley à Saad ECHOUAFNI , fonde ses accusations sur le seul
témoignage de ce personnage douteux et reconnaît formellement que Ashley ses
acolytes sont de dangereux pirates. Certes ces pirates travaillent aussi pour le
compte du FBI et sont totalement libres. Mais pourquoi a-t-on instrumentalisé
P.Ashley pour faire « tomber » Saad ECHOUAFNI ?
C’est là que nous
arrivons au contexte américain ! Il est notoire que depuis un certain 11
Septembre 2001,qu’ il ne fait pas bon d’être arabe et/ou musulman sous le ciel
des Etats Unis. N’importe quel incident impliquant une personne de cette
origine, dusse-t-elle être citoyenne américaine, entraîne souvent pour elle des
dommages de tout ordre. La pression devient plus forte quand cette personne
connaît du succès ou cherche à s’affirmer .
Le FBI a finalement retirer sont avis de recherche
Seulement la foi de Saad ECHOUAFNI dans l’Amérique est telle qu’il a peut
être oublié qu’il est d’origine arabe et musulmane, et il a été chercher aide et
protection là où peut être il ne fallait pas : le FBI ;
Le plus étonnant
c’est qu’il continue aujourd’hui encore à croire dans cette Amérique qui l’a
blessé dans son amour propre et a brisé son élan. Il n’a aucune haine, ni
amertume envers ses accusateurs. La preuve pour lui est que le Juge Dein de
Boston l’a bien relaxé, ce qui lui a permis de retourner à son pays d’origine .
Si aujourd’hui il est recherché par le FBI,dans la même rubrique que la
petite délinquance , c’est parce qu’il n’a pas répondu à la convocation de
Alikhan, procureur fédéral, adjoint de John Ashcroft , tristement célèbre pour
sa chasse aux sorcières (arabes et musulmanes).
Faut-il malgré tout qu’il
se jette dans la gueule du loup pour le seul souci de prouver qu’il n’a rien à
se reprocher. Qu’adviendra -t-il alors de sa famille ? Et on sait que pour lui
c’est la première des responsabilités.
Il n’exclut guère de revenir aux
USA ; bien au contraire il souhaite y retourner à la première occasion pour
laver son honneur.
Mais il sait aussi qu’il faut qu’il attende
l’accalmie. Les USA connaissent un accès de fièvre à chaque événement fâcheux.
C’était le cas après la deuxième guerre mondiale quand le Maccarthysme
pourchassait toute personne qui avait une sensibilité de gauche. Aujourd’hui le
11 Septembre a fait de chaque arabe et/ou musulman un criminel potentiel . Cette
crise passera comme est passée l’époque de Mac Carthy et les choses seront
rétablies dans leur vérité.
C’est ce moment que Saad ECHOUAFNI appelle de
tous ses vœux, car il est conscient qu’il n’aura été qu’une victime des
vicissitudes de l’Histoire. En attendant il aspire à la paix et à la
tranquillité de l’esprit pour qu’il puisse se consacrer à sa famille et apporter
le plus à son pays d’origine.